dimanche 16 décembre 2007

Une expérience

Allez sur Google et tapez "Monique Pouliot", pour le fun.

:)

samedi 15 décembre 2007

Mais qui est Monique Pouliot?

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Bon, je vais vous expliquer sommairement qui est Monique Pouliot. Je croyais que la plupart des gens de mon entourage le savaient, mais je me fais encore questionner.
Monique Pouliot, c’est mon yucca, ma plante verte. Une des rares choses vivantes dans mon minuscule espace vital. C’est la plante qui finit pas de faire semblant de crever, et c’est franchement énervant à voir. Et comme vous le savez probablement, les plantes sont sensibles à ce qu’on leur dit, et elles sont même réceptives à la musique qu’on leur fait écouter*. Alors je lance des insultes à Monique Pouliot, pour qu’elle crève enfin, et je lui fais écouter de la musique pas recommandable. Violente ou déprimante. Je ne sais pas laquelle est la plus efficace.
Mais ça lui en prend, du temps, pour crever! Tellement que je pense à la rescaper. Habituellement, quand une plante commence à mourir chez moi, c’est irréversible. Mais Monique Pouliot, elle a une soif de vivre trop forte. Et c’est peut-être ce qui explique le culte qui se développe autour d’elle depuis des semaines. Soyez attentifs, vous pourriez entendre parler d’elle bientôt.
Ah oui… ‘nique m’a trouvé une Monique Pouliot à Val-Bélair, mais je vous prie de la laisser en paix. Elle n’a aucun lien avec la Monique Pouliot concernée ici.


*C’est ma maman qui m’a dit ça en 1987, et le contraire n’a jamais été prouvé, donc c’est vrai.

mardi 4 décembre 2007

Encore le Malin qui en veut à mes vidanges

Je ne sais pas s’il est tombé du ciel, mais il était déjà là quand j’ai ouvert la porte pour sortir de ma tanière, il était partout à la fois, et assez hystérique. Il ne savait plus où se garocher, je n’osais plus faire un pas, j’avais presque un peu peur (et pourtant je n’ai peur de rien, surtout pas des écureuils), alors je l’ai laissé s’enfuir en vitesse, grimpant sur des surfaces trop lisses et enneigées, courrant comme un démon qui se débat dans la neige (ça se dit, non?). Ce devait être le chef de la bande, il était assez gros, un vrai king size, écureuil transgénique du Mal. (Bien entendu, les écureuils de Montréal sont plus gros, mais ici, ça impressionne!)
Le top de ma poubelle était plein de petits pas. Avec des trous tout autour. Il travaille encore sur son cas, espérant l’éventrer comme la précédente. L’enfant de pute.
Il était très mignon, quand même.
Ça, c’est une de mes super aventures que je vis en dehors de ma vie scolaire. C’est excitant, non?
Il me reste encore quatre jours d’examen, et je suis en vacances. Yeah.
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(Photo trouvée sur Google, assez evil, non? Ben mon écureuil est pire!)

dimanche 11 novembre 2007

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C’est comme si j’avais fait un pacte avec les corneilles. À trois, elles se sont mises à poursuivre l’écureuil à travers les branches de l’arbre géant en face de ma fenêtre. En croissant fort, toutes hérissées de plume dans un style Patrick Brisebois dans sa période Robert Smith. Le méchant courait dans tous les sens, avec un gros truc beige dans la gueule (peut-être un reste de mes bagels périmés que je viens de jeter). C’était comme regarder le sport à la télé, mais sans les commentateurs énervants, sans la foule qui crie, sans pub d’antisudorifique, etc. Donc, beaucoup plus amusant. J’avais envie d’appeler des amis pour qu’ils viennent faire des paris avec moi. Mais ça s’est terminé assez vite. Pauvre écureuil.

Les corneilles sont de mon bord!



P.S. : Tapez « corneille » ou « raven » sur Google Images, juste pour le fun.

vendredi 9 novembre 2007

Encore l'écureuil

Il y a un renvou de minou sur le pas de ma porte. Des brins d’herbe avec de l’écume de chat. Je sais reconnaître les vomis de chats.
L’écureuil vilain a déjà commencé son ravage sur la nouvelle poubelle que mon gentil voisin m’a généreusement ramené du Canadian Tire (pour m’éviter de trimballer ça dans le bus). Je ne sais pas ce que je vais faire pour contrecarrer les plans diaboliques du rongeur. Ça prendrait un médium qui communique avec les animaux. Les écureuils ne veulent pas dealer avec moi. Pourtant, je les aime bien. Même ceux qui ont le Mal gravé au fond des yeux.

lundi 1 octobre 2007

Le Mal dans mon quartier

L’écureuil maléfique a troué ma poubelle durant mon séjour dans la ville de Louiseville. Une poubelle sur roulettes, ultra pratique pour les petites filles comme moi qui n’ont pas les bras conçus pour soulever une semaine de résidus domestiques de toutes sortes. C’était la première fois que j’achetais une poubelle. Je ne trouve pas ça spécialement excitant. Encore moins en acheter une deuxième. Cette fois, j’opte pour l’aluminium blindé. En espérant que mon Evil Squirrel n’a pas une dentition de mutant.
J’essaie de penser à tout ce que j’ai jeté dans la dernière semaine, au cas où il y aurait des trucs gênants. Parce qu’une bonne partie du contenu du bac s’est retrouvée sur le balcon de ma charmante voisine du dessus, près de ma porte d’entrée, dans le stationnement du voisin, dans les escalier, etc. Comme j’étais absente, ce sont mes voisins qui ont tout ramassé. La honte.
Une question me vient à l'esprit alors que je mets ma poubelle sur le bord du chemin : comment fait-on pour jeter un bac à déchets? On en achète un plus grand pour y mettre le plus petit à l’intérieur? Parce que c’est pas clair, hein. Les vidangeurs font leur job. Ils n’analysent pas chacun des bacs pour vérifier si ce sont des contenants à déchets ou des déchets en soi. Simplement, j’ai écrit sur le couvercle : « JETEZ LA POUBELLE. ELLE EST BRISÉE. GARE À L’ÉCUREUIL MALÉFIQUE DU QUARTIER. »
En revenant de l’école, j’ai vu le rongeur. Il avait des spasmes dans la queue à force de chercher la poubelle disparue.